L’importance du bilan pré-implantaire pour autoriser l’application du Concept One
Avant le commencement de tout traitement implantaire, l’équipe médicale de la clinique doit procéder au bilan pré-implantaire, une étape qui consiste en un bilan radiologique, un questionnaire médical et un entretien avec le chirurgien-dentiste chargé d’opérer. Cette étude permet de rassembler l’ensemble des informations qui vont permettre de déterminer l’applicabilité de tel ou tel protocole en fonction des éventuelles contre-indications que présente le cas du patient. Cette phase est donc indispensable pour garantir la sécurité de l’acte chirurgical et pour confirmer le choix du protocole le plus adapté. A Idem, le bilan pré-implantaire est gratuit et se déroule sur 24 à 48 heures lors de votre première visite à la clinique. A l’issue du bilan sont remis le plan de traitement ainsi que le devis détaillé et définitif de la réhabilitation.
Applicabilité du Concept One : de la nécessité d’une structure adaptée
En tant que protocole qui permet de réaliser plusieurs étapes du traitement en seulement 24 heures, le Concept One nécessite une grande fluidité dans le fonctionnement de la clinique et donc une structure adéquate afin de respecter un certain timing pour bénéficier de tous les bienfaits de ce type de protocole.
Tout d’abord, il est important de noter que, si l’on rassemble plusieurs interventions en une seule, le temps passé sur le fauteuil du dentiste s’en retrouve logiquement allongé, ce qui pose un problème de confort pour le patient qui supportera difficilement plusieurs heures de chirurgie. Il est donc primordial de disposer des technologies adaptées afin de procéder à une chirurgie sans douleur dans les meilleures conditions. Dès lors, utiliser l’anesthésie sous sédation s’avère indispensable, tout comme la disponibilité d’une équipe d’anesthésistes. Cela permet au patient d’être relaxé et de perdre la notion du temps tout en restant conscient. Pour réaliser ce type d’anesthésie, il convient donc que la clinique dispose, comme c’est le cas chez Idem, d’un bloc opératoire afin de garantir la sécurité et l’hygiène la plus complète.
D’autre part, la proximité du laboratoire de prothèse est aussi un critère décisif pour l’application de ce protocole dans le sens où la prothèse provisoire doit être prête le lendemain de la pose des implants. En effet, la pose des dents fixes provisoires ne doit surtout pas être réalisée après la limite des 72 heures suivant la pose des implants sous peine d’interférer avec la phase d’ostéo-intégration. Il est donc nécessaire que le laboratoire et le chirurgien-dentiste travaillent en parfaite coordination, d’où l’avantage pour une clinique de disposer de son propre laboratoire de prothèse.